Dans une affaire intrigante, l’ancien entraîneur de l’équipe canadienne, Dave Callaghan, échappe à toute suspension suite à des accusations d’espionnage par drone pendant les Jeux Olympiques. Ce scandale captivant soulève des questions sur l’éthique et la sécurité des compétitions sportives internationales. Découvrez les faits derrière cette enquête aux multiples rebondissements.

Sommaire :
L’affaire d’espionnage par drone au sein de Canada Soccer
La controverse autour de l’espionnage par drone lors des Jeux olympiques de Paris a trouvé une conclusion, du moins pour l’ex-entraîneur John Herdman. Après une audience disciplinaire menée par un comité indépendant, Herdman a reçu une réprimande écrite, mettant fin à ce chapitre controversé de sa carrière.
Selon ESPN, le panel composé de trois personnes, indépendant de Canada Soccer, a conclu que Herdman avait commis une faute selon le Code disciplinaire de Canada Soccer. La décision du comité est finale et contraignante, bien que Canada Soccer n’ait pas encore publié les détails complets de leurs conclusions.
La controverse autour de l’espionnage par drone a été révélée grâce à un rapport commandé par Canada Soccer et réalisé par un cabinet d’avocats indépendant. Publié sous forme partiellement censurée en novembre dernier, le rapport a montré que la surveillance clandestine des adversaires était une pratique bien antérieure aux Jeux de Paris.
À l’époque, Canada Soccer a déclaré avoir «initié une procédure à l’encontre de M. Herdman en vertu de son Code disciplinaire», invoquant des violations potentielles du Code de conduite et d’éthique de l’organisation. L’audience disciplinaire qui a suivi a finalement abouti à cette décision.
La sanction la plus légère possible
Malgré la gravité des allégations, Herdman s’en est tiré avec une simple lettre de réprimande — la sanction la plus légère possible selon le Code disciplinaire de Canada Soccer. Les sanctions auraient pu aller d’un simple avertissement jusqu’à une suspension à vie, mais le comité a choisi de ne pas interdire définitivement l’ancien entraîneur du sport.
Dans un communiqué, Herdman a déclaré : « Je reconnais la décision du comité disciplinaire, qui s’est conclue par une réprimande, sans suspension ni amende, et qui clôture cette affaire. »
Il a également défendu sa carrière en affirmant : « Tout au long de ma carrière, j’ai dirigé avec intégrité, transparence et un profond respect pour le jeu. Cela n’a pas changé. J’ai coopéré tout au long du processus, y compris une présentation complète et transparente au comité disciplinaire. »
Impacts sur d’autres membres de Canada Soccer
Alors que Herdman a évité une sanction plus sévère, d’autres impliqués dans le scandale n’ont pas eu la même chance. L’entraîneuse des femmes, Bev Priestman, l’entraîneuse adjointe Jasmine Mander et l’analyste Joey Lombardi ont chacun été suspendus pendant un an par la FIFA. Lombardi a démissionné de son poste au sein de Canada Soccer peu après les Jeux olympiques.
L’avenir pour John Herdman
Herdman, quant à lui, se tourne vers l’avenir. « Bien que cette période ait été incroyablement difficile, je reste fier de mon temps passé avec Canada Soccer et de ce que nous avons accompli ensemble. J’ai hâte de poursuivre mon parcours dans le jeu », a-t-il déclaré.
Bien que l’affaire d’espionnage par drone puisse être terminée pour Herdman, le scandale a laissé une trace durable sur Canada Soccer, une marque qui ne sera pas facilement oubliée.
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Quels sont les retombées du scandale d’espionnage par drone de Canada Soccer aux Jeux olympiques ?
L’ancien entraîneur John Herdman a reçu un avertissement écrit suite à une enquête menée par un comité disciplinaire indépendant qui a conclu à une faute.
Quelle a été la sanction pour John Herdman suite à l’enquête sur l’espionnage par drone ?
John Herdman a reçu un simple avertissement écrit, la sanction la plus légère possible selon le Code disciplinaire de Canada Soccer.
Quelles ont été les conséquences pour d’autres personnes impliquées dans le scandale ?
L’entraîneuse Bev Priestman, l’adjointe Jasmine Mander et l’analyste Joey Lombardi ont été suspendus un an par la FIFA. Lombardi a démissionné peu après les Jeux olympiques.
Comment John Herdman a-t-il réagi à la décision du comité disciplinaire ?
John Herdman a accepté la décision du comité tout en défendant son intégrité et son respect pour le jeu, exprimant sa fierté pour ses réalisations avec Canada Soccer.